Le vent se lève, ou la nouvelle serveuse

J’en suis ébouriffé. Certes, car je suis, à l’image de bon nombre de mes modernes collègues, un indolent du peigne. Mais surtout, car l’ouragan qui me frappa ne laissa l’ombre d’un espoir à un semblant d’ordre capillaire. C’est donc tous épis dressés que je cherche du regard, hagard, la cause de cette brusque tornade. Devant…